Les petits Saint-Geniérois doivent attendre la rentrée avec impatience pour goûter à leur toute nouvelle cantine ! L'ancien réfectoire des années 90 a laissé la place à un bâtiment flambant neuf, moderne, lumineux et chaleureux à deux pas de l'école maternelle et des arènes. Alliant confort et qualité alimentaire, ce nouvel espace de restauration est conçu pour accueillir quotidiennement les 180 élèves dans les meilleures conditions possibles. Une attention particulière a été portée à la qualité des repas, à l’organisation des espaces et à la convivialité du lieu.
"Un véritable espace de vie"
Pour Yvon Pellet, maire de Saint-Geniès-des-Mourgues et son équipe municipale, "le nouveau restaurant scolaire est bien plus qu’un simple lieu de cantine : c’est un véritable espace de vie pour les enfants". Lors de son inauguration, il a salué "un projet ambitieux, symbole d’un engagement fort de la municipalité en faveur d’une alimentation de qualité, durable et ancrée localement, au service des enfants, des familles et des acteurs du territoire".

"Bien manger est une démarche qui s’apprend dès le jeune âge. Notre chef cuisinier Guilhem élabore chaque jour des menus équilibrés, variés et savoureux, en privilégiant des produits frais, de saison, bio et issus de circuits courts. Attentif aux goûts des enfants et aux recommandations nutritionnelles, il met son savoir-faire au service d'une alimentation saine et gourmande", explique Gisèle Villar, adjointe à la Restauration scolaire.
La cuisine ouverte sur la salle des restauration offre l'opportunité aux enfants de voir le chef travailler, de découvrir son savoir-faire et celui de l'équipe qui prépare les repas. L'organisation du restaurant permet aux élèves de se servir, de débarrasser, de faire des choix alimentaires adaptés… Une démarche qui favorise leur responsabilisation.

Coût et financement
Coût de la cantine : 2,63 millions d'euros HT
Financés par la Ville de Saint-Geniès-des-Mourgues (1,3 million d'euros), l'État (550 000 euros), la Région Occitanie (350 000 euros), le Département de l'Hérault (280 000 euros) et la Métropole de Montpellier (150 000 euros).
