Pourquoi je trie mes déchets par Serge Ledanois

C’est facile et capital

Serge Ledanois, 55 ans, chef de projet habite Saint-Jean-de-Védas " Je suis arrivé dans la Métropole depuis 3 ans. Avec ma compagne, nous habitons une maison avec jardin. La Métropole nous a donc fourni une poubelle jaune, puis un composteur. On a pu accentuer notre effort sur les déchets organiques." 

On trie tout

"Aujourd’hui, on trie absolument tout. C’est devenu un automatisme. Notre poubelle grise ne représente que 20 à 30 litres par mois ! Cela impose quelques contraintes, mais ce n’est pas insurmontable. On met bien à côté les bouteilles en verre : on peut en faire de même avec les canettes, les déchets alimentaires…" 

Ambassadeur du compostage

"Je me suis pris au jeu, et je me suis formé comme Guide composteur, j’ai rejoint une association locale sur l’environnement. Aujourd’hui, nous accompagnons 90 personnes pratiquant le compostage. À la rentrée, nous allons apprendre aux élèves d’une école à trier et valoriser les déchets organiques, qui serviront pour les espaces verts. Ce sujet est au carrefour des questions sociales et sociétales. Les feux sont au rouge sur les sujets liés à la biodiversité. Il y a urgence. Il faut alerter les gens sur les difficultés qui sont devant nous."

Un geste élémentaire

"Trier c’est facile, c’est un geste élémentaire capital. Si on peut éviter que tout cela finisse dans la mer, pourquoi ne pas s’y mettre ? "